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Tout au fond du "jardin de Claire" se dresse une  ruine. 

Depuis des années Claire rêve devant ces ruines.

      Ainsi est né ... LE PAN DE MUR

Un escalier y a laissé sa trace. Des vestiges de  papiers pendent.

Çà et là, une chambre,  nid d'enfant,  salon,

Trace d’une cheminée Traces d'une vie... .

 Claire se pose et  vous  raconte "ses souvenirs" 

 

1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 13:22

LETTRE NON POSTÉE A  Mlle Mireille DARC

     Chère Mimi,  

   A toi j'peux bien t'le dire ...  Mis à part ce dos magnifique que tu as osé montrer à tous et surtout au "Grand blond etc."  P. Richard - qui doit  s'en souvenir encore  (sourire) ...  Moi, je ne te connaissais que peu...

   Personnellement mes cinémas c'était plutôt les films : Action - Fiction - Amour  en Trois dimension :>)

   Mais... A la Télévision, j'ai vu tes essais et "mises en scènes" sur des sujets sérieux! Tu ne voulais plus être "l'actrice" - Tu voulais plus...          Avec ta caméra et tes savoirs: Montrer certaines misères humaines.

    Et puis sur FRANCE 2 L. Delahousse nous a présenter ce Jeudi :

 UN JOUR UN DESTIN

 ... Surprise par "ton destin" J'ai pris comme un coup au cœur...  Émue aux larmes devant cette image : Toi, la petite fille brune, rejetée par père et mère... Tu apprends à danser, inscription aux cours Simon.

... Et adoucir ton visage avec ce blond qui rendait ton regard plus doux.     Quelle force il t'a fallut pour lutter et gagner ta place dans le monde du cinéma. - Débutante avec des Gabin, Ventura, Blier et tant d'autres, Tous des copains, respectueux de ta beauté, ton air coquin, ta force et cette volonté qui n'a jamais faiblis.

   J'en ai retenu que - comme une autre petite fille que j'ai bien connu...  ...Tu as construite - seule : " Ta drôle de vie". Mais toi : avec bien plus de sérieux… - " Au revoir petite sœur de cœur ".

   - Enfin: Courageusement tu as bravé les" impossibles". Aimé avec force, et tendresse. Et surtout, comble de ton amour... tu as "cédé la place" (comme on dit) ...Quittant Alain que tu adorait jusque à en oublier ta carrière, pour l'assister dans la sienne. Puis le quitter avec délicatesse, mais toujours avec amour.  "L'AMOUR C'est qu'il y a de plus beau  dit la chanson ... " Et  L'AMOUR nous est toujours rendu au centuple... - Juste et belle récompense que l'amitié qui vous unissait Alain, Toi et Pascal: l'homme qui t'as épousé.

…  Frôlant la mort par trois fois ; tu disais : - "Mourir n'est rien, puisque de toute façon nous mourons tous un jour..." -  "Ce qui me fait mal c'est de laisser ceux qu'on aime... leur faire de la peine ".

   Ton grand et unique soucis... Penser à "l'autre"... à la souffrance de ceux qui t'on aimé.

   - " Dors tranquille Mimi...  Ce vendredi, à St Sulpice ils étaient tous là... Admiratrices, admirateurs... Ainsi que tes hommes : PASCAL et ALAIN  ce dernier qui n'a pas faillit à la parole donnée.                                              

   - Rester auprès de ton mari... Tous deux unis dans un même chagrin.

     "Boul'versés  par le départ d'une : Grande blonde boul'versante".

   Ton pauvre cœur peut alors se reposer, ne plus  te faire souffrir...

   Je termine cette "Lettre non postée... Car je n'ai plus de mots,  sinon dire que, la fin de cette vie magnifique dont tu étais indéniablement la créatrice... est pour nous tous, une leçon de courage.

   AU REVOIR MIMI... Repose en paix. jamais nous ne t'oublierons.                       Et pour toi ce bouquet de fleurs blanches que tu aimais tant.

                                          

 

PS: Chère Mireille, dans cet au-delà dont parfois je doute...  Si tu vois une jolie maghrébine au doux nom de "Nadia" **   Une belle personne elle aussi... - Dis lui de ma part que ce 3 septembre... Je serai à la sortie de la maternelle avec des bonbons et des joujoux pour  Illia – sa petite fille orpheline  qui déjà m'appelait ... "MAMIE" ajoutant doucement à mon oreille, pour mon plus grand bonheur...

 " MAMIE JE T’AIME.   MJ.                                                                                ** Nadia est tombée dans un ravin ce 18 Juillet, elle avait 28 ans.

A venir: Un jour un destin: NADIA... Lorsque le souvenir sera moins douloureux. MJ.            

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4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 17:55

     Madame,

    Vous voilà partie avec votre discrétion légendaire.

La même que vous avez eue durant 30 ans, au retour d’Auschwitz- Birkenau. Sinistre ghetto où sont morts vos parents et votre frère.

    Je découvre que vous étiez une "niçoise"! - Je ne suis qu’une parisienne échouée à Nice, mais ce jour, aussi fière de vous, que les niçois, vos concitoyens.

    J'ai pris le temps de lire les articles nombreux relatant votre "Pas drôle de vie" en cette période 1939/1945 vécue dans l'horreur de cette guerre. Je retiens votre grand courage pour avoir surmonté l'odieux "Gouvernement de Vichy" - Pour mémoire - Vous livrer à ce fou, dont le seul nom me glace: Adolf Hitler.  Qui jugeant votre "race" impure" a voulu vous éliminer du monde... Glorifiant  "la race Aryenne" de son peuple... et j'en passe*** 

    Survivante active, militante tenace, combattante déterminée pour défendre la cause: Des femmes - de l'Europe - de la mémoire. Votre esprit est resté libre: hostile à toute forme de sectarisme.

    Libérale au plus beau sens du mot. Vous  vous êtes engagée en politique pour mettre en oeuvre vos idées. Et malgré les difficultés, les moqueries rencontrées, les injustes injures à votre encontre lors des séances du Sénat, du Parlement de cette époque... VOUS AVEZ GAGNE. Et vous avez accédé aux plus hautes fonctions.

-  Seule dans vos combats de toute votre vie; Simone VEIL vous avez fait avancer l'humanité tout entière.

    C'est pour tout ces raisons que: Ce triste jour de votre départ, j'ai tenu relire toute votre histoire.  

LETTRE NON POSTÉE  A Mme SIMONE VEIL
LETTRE NON POSTÉE  A Mme SIMONE VEIL
LETTRE NON POSTÉE  A Mme SIMONE VEIL
LETTRE NON POSTÉE  A Mme SIMONE VEIL
LETTRE NON POSTÉE  A Mme SIMONE VEIL

       COURT EXTRAIT DE LA BIOGRAPHIE DE SIMONE VEIL 

   -" Le 13 avril, nous avons été embarquées à 5 heures du matin pour une nouvelle étape dans cette descente aux enfers qui semblait sans fin. Des autobus nous ont conduits à la gare de Bobigny, où l’on nous a fait monter dans des wagons à bestiaux formant un convoi aussitôt parti vers l’Est. Comme il ne faisait ni trop froid ni trop chaud, le cauchemar n’a pas tourné au drame, et dans le wagon où nous nous trouvions toutes les trois, personne n’est mort  au cours du voyage. 

     ...Effroyablement serrés, une soixantaine d’hommes, de femmes, d’enfants, de personnes âgées, mais pas de malades. Tout le monde se poussait pour gagner un peu de place. Il fallait se relayer pour s’asseoir ou s’allonger un peu. Il n’y avait pas de soldats au-dessus des wagons

    La surveillance du convoi était seulement assurée par des SS dans chaque gare où il s’arrêtait. Ils longeaient alors les wagons pour prévenir que, si quelqu'un tentait de s’évader, tous les occupants du wagon seraient fusillés. Notre soumission donne la mesure de notre ignorance. Si nous avions pu  imaginer ce qui nous attendait, nous aurions supplié les jeunes de prendre tous les risques pour sauter du train. Tout était préférable à ce nous allions subir. Les traces indélébiles de ce que j’ai vécu.

       Le voyage a duré deux jours et demi ; du 13 avril à l’aube au 15 au soir à Auschwitz-Birkenau. C’est une des dates que je n’oublierai jamais, avec celle du 18 janvier 1945, jour où nous avons quitté Auschwitz, et celle du retour en France, le 23 mai 1945. Elles constituent les points de repère de ma vie.

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  LOI POUR LE DROIT A L'AVORTEMENT

    Pour ce combat ¨: MERCI Madame VEIL -

Personnellement, jeune mariée entre mes 17  et 18 ans ans; j'ai dû moi même, seule, pratiquer deux avortements dans des conditions difficiles à décrire sur mon récit. Pourtant il me faut le dire, le faire comprendre...

    Au parlement de cette époque, suite à votre décret -"ILS" vous ont accusée, d'incitation "aux meurtres" (d'embryons humains)

- Ignorants les souffrances morales et corporelles que nous endurions. Beaucoup sont mortes entre les mains de "faiseuses d'anges" - D'autres se sont débrouillées, pour des raison différentes et personnelles

 A cette époque il nous fallait: "procréer" (le viol conjugal) n'était pas reconnu. De plus, décidé par nos maris - Il était de bon, rester à la maison pour élever nos enfants et faire le ménage.

- En écrivant cette phrase ... l'impression d'avoir 100 ans d'âge.       Moi moi qui après 8 ans de pensionnat assortis de 8 ans: au services de ma mère, ne rêvais qu'à la liberté de vivre "ma vie". Voilà la réalité.

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   Beaucoup de femmes sautaient à la corde, ou pratiquait le Hula Hoop à outrance. Moi  j'ai eu la chance que mon père (employé en pharmacopée) - m'aide : conseils, et prêt d'un spéculum.

- Alors, comme beaucoup d'autres femmes de  ma génération... Souvent seules; accroupies sur une glace, nous devions insuffler de l'air dans notre utérus, pour faire mourir l'embryon. Il nous en fallait du courage et désespérance, pour accomplir ces actes.

  Me concernant, désireuse de divorcer, après quelques mois de mariage? :  - "Inconcevable !  à dit mon père...

.Chaque soir devant le métro je pensais au suicide: pour recouvrer ma liberté, mon choix de vie. Et la liberté de faire un enfant que lorsque je le désirerais et pourrait l'élever avec un mari qui me respecterait.

- Un homme observateur de mon manège - "j'y vais-j'y vais pas " -m'a empêché de sauter. Résultat: Quelques mois à la Salpêtrière avec les fous... et retour à la maison.

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   J'ai patientée grâce à ma tata Jo, ma "petite mère" chez qui souvent je me réfugiais. Elle, mère de trois enfants, une conduite exemplaire. De plus née d'une famille de sept enfants! Elle me réconfortait, mais sans me convaincre. Lien de:  Mon enfance  

 Pour compléter ce délicat et douloureux chapitre que j'inflige aux lecteurs. (je prie de m'en excuser)- J'ai mis au monde un enfant de six mois; mort-né... Dans le dortoir d'un hôpital de St Cloud... Un après-midi, aux heures "des visites" - Parce "qu'elles" n'ont pas écouté ni entendu mes appels, pas tenu compte de ma souffrance, ni de mes larmes. - Je n'avais alors que 18 ans...

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ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR DE LIRE

Je me souviens:  Dans ce dortoir, au milieu d'autres lits.

- Ressentant de grande douleurs, au ventre et bas ventre, je demandais au visiteur voisin de mon lit; d'appeler une infirmière.

Visite de l'infirmière: 

- "Non ma petit dame le "travail" ne fait que commencer... 

- A la fin des "visites" il était trop tard... Dans mon lit, baignant dans le sang... "le travail était finit"  - Le petit ange était mort. 

Grâce à vous Madame, à l' IVG  que vous avez institué -  nos filles, ainsi que les générations futures ont eut le privilège de choisir leurs désirs d'enfants, ou pas ... En toute sécurité.

  Enfin, croyant sauvé ce mariage, j'ai gardé et mis au monde une belle petite fille... et j'ai divorcé - Un autre combat.

 En fait, je l'avoue, n'avoir jamais respecté l'ordre les choses.

Ainsi se termine cette lettre et souhaite que votre coeur immense repose au Panthéon. Là où  EST VOTRE PLACE .    MJ

PS: Et j'en passe***  Une de mes expressions favorites, pour éviter de ne pas tout dire. LOL 

2) Par honnêteté  j'avoue à mes lecteurs amis: Beaucoup de copier-coller  grâce à l'ami Google ! ben voyons!!     

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27 février 2016 6 27 /02 /février /2016 14:38

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Chère Annie,

     Cinq ans déjà que tu nous a quitté Annie, ma grande sœur de cœur

     Cette semaine la télévision nous a fait le cadeau de retracer ta vie,

     J'ai enregistré ton histoire... A l'heure où je t'écris, sur l'écran de ma Télévision... c'est le jour de ton mariage avec l'homme de ta vie Renato Salvatori. Ce jour là, c'est l'amour fou.  Comme tu est belle... belle est confiante, le  bonheur te va si bien.

     Le lendemain Renato disparaît ?... Il n' est plus là ?  Chacun sa vie, lui à Rome, toi à Paris. Ton histoire, et mon histoire,  bien que très différentes, deviennent jumelles dans leurs extravagances. (Sauf que, je suis loins d'être une artiste). Un matin moi aussi je suis seule avec une petite fille sur les bras...

    1942 - Toi, ainsi que moi, une enfance chaotique. Toi à Caen, Moi à Trappes. Dans les abris, la solitude et la peur. ET bien plus tard...  Ainsi que toi, j'ai  donné, dépensé sans compter... jamais.

     Les hommes ? nous en avons vite fait le tour. Espoirs, désespoirs. Don de soi, sans jamais de retour - J'ose dire, dans nos vies collatérales mais tellement différentes, nous nous ressemblions. Ainsi était notre destin. ...  Des jours et des nuits - Partir et revenir - Avec, - Un homme qui nous plait - Vivre pour vivre. Se saouler de travail, se tromper de parcours, tomber, se relever.

     1975  - Hélas pour toi la chute ... Ils t'on oubliée.  TOI la grande comédienne, balayée par une nouvelle vague d'artistes plus jeunes... Mais pas NOUS - Jamais ! Nous qui allions te voir sur l'écran comme on se rends en visite chez une amie de la famille. - Tu ne jouais pas un personnage, tu devenais LE personnage... 

- C'était cela ta force. Ceux qui ont vu ce remake de ton parcours, comme moi, ont fait un virage à 190°en arrière....

    1983.... Ce soir là je suis à Paris avec un "de mes hommes" Un "passager" - Un emprunt - Moi j'avais le rôle de "La maîtresse" - Une semaine volée sur nos deux vies - Un "entracte" - Une semaine de vacances qui a aboutit au Théâtre Mogador où tu jouais "LE FOETUS " Une pièce exceptionnelle... Dans l'espace, suspendue à un trapèze tu disait ton texte. Tu étais le " le fœtus"  - L'avorté - tu dois mourir alors que tu voudrais venir au monde, naître à la vie.. Puis tu glisse le long d'une corde, douloureusement, suppliante, jusqu'à terre.

-  Voir ***  

     J'étais si bouleversée par ton jeu de scène qu'à la fin. Emportée par les bravos et mon émotion, je suis monté sur la scène te serrer dans mes bras ... embrasser ton visage de femme, de guerrière. Un vrai coup de folie... qui m'a valut bien des remontrances de mon amant tout le reste de la soirée (un bourge un peu coincé) !!

Peu importait - j'avais pu enfin te dire dans la folle étreinte

      - " AH !COMME JE T'AIME ANNIE "

Je ne comprends pas sur quel machiavélique chemin la maladie t'as rencontré. TOI avec cette mémoire extraordinaire.

ALZHEIMER elle se nomme... VOLEUSE OUI ! SALOPPE !

​Rien que d'évoquer son nom nous fait peur.

Honte à cette voleuse de mémoire, voleuse des toutes les " Belles choses de la vie "

Faire tomber des hommes et des femmes, dans un puit sans fond... jusqu'à n'être plus rien.

       Maudit 28 février 2011 - Anniversaire de ton grand départ.        ​

                                            *********************

     En t'écrivant cette lettre je pense très fort à la seule personne de ma famille qui m'a sortie de l'oubli en 1940.- Ma tante Esther qui depuis 10 ans, se trouve dans un "Etablissement " (nom pompeux)    - Parmi d'autres compagnes et compagnons d'infortune - Ni moi, ni ma courageuse cousine ne pouvons rien pour Elle. Alors nous carressons ses mains et la couvront de baisers... Elle, elle sourit.

      Pauvres oiseaux du malheur, blessés, recroquevillés dans leur fauteuil, le regard absent.  "ILS" attendent, attendent.

PS : Annie je t'aimerai toujours et de ce pas je vais me faire une fourre de vidéos - petits bouts de films - petits chefs d'œuvres de ta vie.  Ceci est une  "Lettre inachevée, une lettre non postée". MJ

 
**** J'ai appris que 15 jours après ma visite à Mogador, Annie a laché prise du trapèze et  est tombée: Traumatisme des cervicales et points de suture sur le crâne.  Rétablie elle a repris son spectacle (elle a 52 ans) hélas les spectateurs n'étaient pas au rendez-vous. Elle a donc cessé, mais uthopique elle a déclaré: "Que les spectateurs ne sont pas venus pour son bien, pour ne pas  qu'elle chute à nouveau! Dixit A.Girardot.
 
Extraits du livre: Le tourbillon de la vie; Agnès Grossmann:  LIEN 

      Autre lien : Une vidéo rare :  LIEN

    J'ajouterai une vidéo de la  plus belle de tes répliques  dans le film de ton grand ami de toujours je le  cite ; Claude Lelouch qui t'as demandé de joué la Thénardier dans les MISERABLES version Lelouch. Il ne voyais que toi dans ce rôle.

 - J'ai lu que ce jour là,  tu étais fatiguée et que pour ne pas décevoir ton ami, et surtout  " l'épater" tu lui a demandé de dire un texte venant de ton coeur. Qui face à Michel Boujenah est devenu la scène culte de ce film.  ET... t'as enfin valu un césar... du meilleur second rôle !

A TOI  UN CESAR DE SECOND RÔLE !!   A NOUVEAU... L'ESPOIR.

A plus-tard Annie... sais t-on jamais ?

 

Je dépose la vidéo de la scène complète... patience au début.

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  • Claire

MA DROLE DE VIE

Résultat de recherche d'images pour "livre gif animé gratuit"  A L'automne de sa vie Claire se pose, raconte ses souvenirs

TU NAIS SEUL, TU MEURT  SEUL,  ENTRE LES DEUX IL Y A DES FAITS DIVERS. CHOISISSEZ BIEN VOS FAITS DIVERS  L Ferré

    MON ENFANCE 

 1955 - 1960 MARIAGE

LE CHEMIN  DE LA LIBERTE

1960 - PORTE DE PANTIN

BILLANCOURT - RUE BROCA

1969 LA SCHLAGUE

1970 - 1980  NICE

1970  - LE SELECT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         

MONTMARTRE

  UN AMOUREUX DE MONTMARTRE

    MONTMARTRE SECRET

POESIES - TEXTES

POESIES

J'AI FUIS     J'AI VU       RÊVERIE

 A MON ETOILE      ODE A MON CHAT

 RACINES    REQUIEM     PEUT - ETRE

RENCONTRE

TEXTES

2012  ECRIRE   

 MA TANTE JO   TU ME MANQUES

IMPOSSIBLE AMOUR

LE RÊVE FOU

LE SATELLITE PERDU

 

                                                                                                                              

 

ENFANTS DE LA GUERRE

      GERALD