Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Tout au fond du "jardin de Claire" se dresse une  ruine. 

Depuis des années Claire rêve devant ces ruines.

      Ainsi est né ... LE PAN DE MUR

Un escalier y a laissé sa trace. Des vestiges de  papiers pendent.

Çà et là, une chambre,  nid d'enfant,  salon,

Trace d’une cheminée Traces d'une vie... .

 Claire se pose et  vous  raconte "ses souvenirs" 

 

/ / /

ENFANTS DE LA GUERRE... et pour finir cette "trilogie" sur ce sujet

L'histoire de Gérald F...Que je rencontrais alors que je tenais une "conciergerie" dans  un petit immeuble cossu de Nice. Le vieux monsieur récemment veuf, zieutait la fenêtre de ma loge et tout naturellement me demanda si je pouvais lui accorder quelques heures de services.
- Et oui... Les concierges sont toujours très demandées, et de ce fait gagnent très bien leur vie en plus d'être logée!! 65 ans en fin chômage technique une sacrée chance comme toujours, donc j'acceptais... Je compris très vite que Gérald, de son prénom aurait préféré me mettre dans son lit, il essuya un refus catégorique qui vexa son égo. Alors pour me garder malgré tout. Il prit une femme de ménage auquel il avait droit...  et me nomma sa "gouvernante" m'offrit 500fr la semaine... pour déjeuner avec lui, puis revenir vers 17h pour une partie de rami: ce qui triplait mon salaire de concierge. Enfin un jour il me supplia encore de devenir sa femme. M'exposa sa situation et ses biens etc. Ce que je refusais brandissant telle une Marianne le drapeau de ma sacrée Sainte Liberté.

Alors Gérald devint thyrannique, jaloux, ne supportant ni moindre retard ni maquillage.
Il semblait même détester les femmes dans l'ensemble?J'appris qu'il avait rendu sa femme malheureuse, n'envisageant pas la présence d'un enfant. Elle mourût suite a L'Alzheimer (ce qui me fait penser que l'isolement et le silence son facteur de cette terrible maladie) -...Son comportement m'intriguait et donc je lui en fis part, nous eûmes de longues discutions. Lui me suppliant de ne pas le laisser seul, et moi lui expliquant que son comportement rendait insuportable notre "arrangement"
Sur mon insistance,
Gérald me raconta la solitude de son enfance de petit berger avec pour compagnon un chien,  seul au pied des montagnes de la Vésubie.

          

 Son père appelé au front en 1914 en était revenu en 1918 … Retrouvant sa chère petite femme avec un enfant de 2 ans… Lui, Gérald… On imagine le choc. Situation que j'avais connu ayant un demi-frère, fruit de la guerre 39/40 !! Sur ce coup nous avions au moins un point commun ! A la différence que Gérald fût "reconnu pour sauver l'honneur... mais tellement battu…Battu pour un oui, pour un non. Sans jamais comprendre, jusqu’au jour où a bout de chagrin, de souffrances, et de servitudes : (Il dormait dans la bergerie et fût berger dés 13 ans ans) Sa mère soumise parce que fautive, ne l'embrassait que furtivement. Extrèmement malheureux, après une énième raclée, il décida de se pendre.
-  
C’est un voisin attentif qui le sauva et lui dit la vérité sur sa naissance et les raisons des méchancetés infligées par ce "père". Il lui dit : " Il faut partir mon petit, cet homme te déteste et finira par te tuer. Tu n’es pas son fils. Ta mère "a fauté" avec un allemand, pour lui c’est donc impardonnable, et c'est pour cela qu'il te nomme toujours
 "le batard" et nous qui connaissons  ton calvaire nous sommes prête à t'aider et te loger.
Gérald quitta avec chagrin sa maman, mais ne lui pardonna jamais.

De ce récit je compris que les guerres étaient "l'ennemies des enfants" 

....  Un an durant  j'ai assisté Gérald, le rassurant sur le fait qui lui faisait le plus peur... que je l'abandonne, son obsession. En vain je lui promettais de ne jamais l'abandonner. Il devenait fragile et inquiet ou capricieux comme un enfant.  Enfin il  fallut l'hospitaliser après un deuxième arrêt cardiaque. J'allais le visiter à Cagne sur mer chaque après midi... Incrédule j'appris qu'il faisait de moi son "héritière" Mais qu'il avait vendu en viager ses biens à sa Conseillière Financière...Gérald à la fois aimait et détestait les femmes mais ne pouvais s'en passer. Y suppose.
Cette dernière fût plus maligne. A moi,  l'héritièrel'Etat préleva sa part soit 60%.

Mais bon, mea culpa,  j'avais refusé cette alliance en touteen connaissance de cause.

- Son dernier jour, je le trouvais "tuyauté » de tout côté et muet, me regardant désespérément… Devinant mon impuissance, l’infirmière me dit – "Vous pouvez lui parler car il vous entend "-  C’est alors que ne sachant plus quoi dire... M’est revenue cette prière de mon enfance, ce "Notre père" tellement ancré dans ma tête...  que je murmurais dans l’oreille de cet homme athée, amer, rancunier, et tyrannique…Comme "une extrême onction" moi, la catholique.

- " Notre père qui est aux cieux que votre volonté soit faites etc.... Pardonnez nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés…
- " Comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés…
-"  Pardonnez nos offenses  comme….  Tel un mantra délirant.

- " C'est fini madame... Il n'est plus là...  Moi qui n'aimais pas Gérald  j'étais navrée, qu'il soit mort dans l'inquiétude... C'est alors que je voulu encore le rassurer, espérant follement qu'il m'entendrait peut-être - Je me penchais vers lui pour dire:
-" Tu vois,  je suis toujours là Gérald,  je t'avais promis,  je suis restée... Ceci dit presque avec colère. 

MJ.

Partager cet article
Repost0
claire-le-pan-de-mur.over-blog.com Claire - dans Eclats de vie
/ / /

Souvenirs d'anciennes BALLADES A  PARIS  1999

En souvenir du blog: "Simplement femme" Sur AOL
Souvenirs dédiés à Jeannette, Patrick, Patoune, Sylvia, Mamie catoue,
et tout les amoureux de Paris

           1993---Mes-loulous-Paris.jpg
                               

1993 -Poulbot Juju Quel bonheur de retrouver mon Paris, sa fièvre, ses multiples visages, et ses constructions anachronique.

Très tôt ce matin là, bien décidée de remplir mon cœur et ma tête, je suis partie : MAIRIE D' ISSY  direction…

1993 - A la Défense 

 

LA GRANDE ARCHE, somptueuse et froide au milieu d'une DEFENSE Manathan..nisée, éfrontée, narguant à quelques cent mêtres mais dans l'axe...

 

L'ARC DE TRIOMPHE  Triomphant de ses disparus: Ceux-là qui, avec leur corps, ont bravé les tempêtes et versé leur sang pour que Paris soit rouge de liberté.

La TOUR EIFFEL Vieille dame confortablement installée sur LE CHAMP DE MARS. Dominante sur des jardins et des palais transformés en musées:
PALAIS DE LA DECOUVERTE - 
PETIT PALAIS où s'entassent des milliers de trésors: Arts - Découvertes - Sciences,  résultats de durs labeurs,  et souvent du sacrifice d'hommes et de femmes.Tout notre passé, toute notre histoire, sources de notre futur.
Gothique NOTRE DAME, surveillant tes deux rives, toi qui ne fais aucune différence entre tes filles de droite et tes filles de gauche.  Chaque  fois que j'entre dans ton ventre, il y fait sombre d'abord. Mais j'y vois s'animer dans tes entrailles d'invisibles voyeurs, tes constructeurs, qui nous regardent depuis plus d'un siècle.
Je  ressens leur présence dans leur ouvrage.
 Ils ont dû mourir la tête pleine de rêves, de joies, de souffrances...Harassantes journées, pesantes besaces.
Ils ont tout donné: Leur vie, leur jeunesse, leur corps, leurs muscles écorchés.
Ils ne croyaient qu'à l'édifice suprême qu'ils accomplissaient pour honorer ce Dieu dont nul ne devait douter. Ont-ils entendu les homélies superbes des lourdes cloches
Qui était cet être difforme que l'on vit  se faufiler entre les hautes arches, grimaçant comme une gargouille... Peut être Quasimodo
Des grands hommes et d'autres... plus simplement humains, reposant dans de noirs catafalques, ont traversé la grande nef. Enrobés d'encen, de musique, et d'hommages, accompagnés de Requiem somptueux pour leur dernier voyage.

 
Je pense au plus grand d'entre les grands, Gouverneur de la France: Le Général de GAULLE. Pour qui se déplacèrent quatre-vingts chefs d'état de ce monde

Et toi Victor HUGO,  suivit de tout un "petit peuple"
Beaucoup plus tard notre frèro, 
Yves Montand qui en chanson a honoré Paris.
Des coeurs vaincus, fatigués de trop d'amour. Dis nous Yves... as-tu retrouvé notre petite soeur en robe noire, Edith. Et Simone, et Romy si fortes et si fragiles à la fois ?

A quel bal nocturne vous rendez-vous, dans l'ombre impénétrable du PERE LACHAISE ?
Il paraîtrait qu'il s'y passe quelques réunions secrètes, où se côtoient Messieurs Chopin, Ronsard, Oscar Wilde pour n'en citer que quelques-uns.

Et toi le musicien et chanteur maudit des Doors : Jim Morrison. As-tu trouvé, ouvertes, les "portes du jardin des réponses" Ton génial cerveau, rempli de musiques diaboliques, empoisonné de drogues et d'alcool, ton coeur n'a pas résisté. La tête pleine de projets, tu es venu mourir à Paris. Là où tu dors tu dois te sentir très seul loin de ton pays, au millieu de ces milliers de tombes.

Novembre 1999 : Je vadrouille entre Les INVALIDES, le PANTHEON, Dormez en paix soldats de tout les temps: Amoureuse de l'histoire de ma France, je sais vos batailles et vos terribles défaites.... 
Mais à Paris rien n'est jamais fini, et je suis infatiguable. Le "spectacles" est sur les boulevards, et dans les rues.
Il me plais souvent de dire qu'a Paris "Presque rien ne m'échappe" En fait... J'ai tout à découvrir.

Et me voilà arpentant les GRANDS BOULEVARDS.  « Bonjour, mes salutations » 
Mr le Baron HAUSMANN. Je vous rencontre dans ce  Musée GREVIN tout de cire vêtu. Ainsi c'est à vous que je dois mes pauvres chausses trouées à force de longues marches sur vos avenues et boulevards. Vous avez fait là, un fabuleux travail, puisque s'en m'en rendre compte, je traverse presque inconsciemment ma ville de part en part, fascinée par la beauté des hôtels particuliers et des demeures anciennes.
OH! Comme j'aimerais connaître tout de votre passé, vos rois, vos princes, comtes et comtesses se promenant dans vos jardins des 
TUILLERIES, LUXEMBOURG, divinement ornés de majestueuses statues de marbre. Vos dites  "folies" et "bagatelles"  Les parcs ombragés par des arbres aux essences rares des  BUTTES CHAUMONT Et BAGATELLE. En ces temps on était riches et raffinés...   Ou pauvres et malodorants.

Merci Monsieur le Baron, pour ces grandioses CHAMPS ELYSES, feux d'artifice permanents, mouvement perpétuel d'une foule. Les corps se croisent, se frôlent sans jamais se toucher. Je monte, tu descends... les regards se cherchent mais plongent dans des yeux absents de MOI.
Longues files de fourmis laborieuses écrasées par elles-mêmes.

 

EN 1960 : Du côté des Champs, je me souviens avoir tremblé de bonheur, d'impatience, mais aussi d'impuissante solitude... Certains soirs où je rentrais chez moi vers minuit, après mon  service en restauration. Epuisée par des journées de 14 a 16 heures en ces temps là... Mais avec l'envie et l'ultime rage de me mêler à la faune nocturne qui, elle, sortait pour "s'amuser"

Pour la grande fête que fût l'AN 2000, je suis venue dans mon Paris, vibrer  et danser avec toi toute la nuit. Des bords de Seine a L'ETOILE j'ai tendu mon verre a qui avait bouteille. Champagne, mousseux, rosé, cidre etc.
- "Une  petite goutte serait bien venue dans ce verre mon bon seigneur"
Surpris mais joyeux chacun s'exécutait. Je buvais et ma tête tournait, tournait... Suivant la grande parade je suis descendu les Champs. Arrivée a la CONCORDE , derrière la Tour, d'où quelques heures avant j'ai pu voir  un feu d'artifice inoubliable j'ai pris  BIR HAKEIM, puis je me suis engouffrée dans les rues noires
 vers Javel. Il était 4h.

En ces temps je n'avais peur de personne me croyant invincible.
Alors je suis revenue "à pied...à pied"
  jusque chez ma chère Tante à Issy les Moulineaux. Elle était debout, ELLE M'ATTENDAIT ! 
Ce petit matin là, il était cinq heures,  et moi j'avais 2000 ans.

1999 : Ce texte était destiné à mes petits enfants. Je laissais à leurs professeurs la longue odyssée de notre histoire.                                    

1993-Carole-lorgne-la-Tour-Eiffel.jpg Carole lorgne la Tour Eiffel depuis Montparnasse 
1993-Pigale.jpg   J'ai le look coco  tout de cuir vêtue !!!

 

2011  Message à Carole et Julien. " Vous souviendrez-vous de cette promenade où, dans la même journée je vous ai entraînés dans les rues de Paris du SACRE COEUR  aux moulins de MONTMARTRE en passant par BARBES et PIGALLE. Puis engouffrés dans le métro GARE DE L' EST, je vous  ai presque portés jusqu'à la TOUR  MONTPARNASSE, petite soeur le l'autre tour, étrange  face à face, vue du ciel.  C'était en Décembre 1993, il faisait froid tout là-haut, mais vous étiez courageux. Ce soir là nous en avons pris plein les poumons, de l'air de Paris, et plein les yeux, de toutes ces lumières.

S'il vous plait, n'oubliez pas notre "ballade dans Paris"  M.J

         1993-Carole-et-l-oiseau.jpg  1993--A-Pigale-on-s-envolent.jpg

 

Partager cet article
Repost0
claire-le-pan-de-mur.over-blog.com Claire - dans ECLATS DE VIE
/ / /

Maudit mois de février 2001.

A celle qui est partie.... JO...  ma tante,  de quelques années mon ainée.
Ma "grande soeur, ma  "petite mère" des années 39/40

bail076-copie-1.jpg
     En ces jours où je dois me préparer a  "quitter " ma  maison, pour partir vers un ailleurs... Je vide les tiroirs et rempli  les cartons. 

    Inévitablement  j'ai entrouvert l'album souvenirs. Les photos de nos promenades, dans le grand  parc A. Citroën aux Moulineaux 

    Nos ballades dans Panam,  au  bal de la Mairie du 14ièm où j'aimais te regarder danser...Ce dernier été 2000 :  A 75 ans tu virevoltais encore avec tant de plaisir.
 - Et ces quelques "comédies musicales"  et pièces de Théâtre qu'en ce temps là  j'ai pu t'offrir. J'avais gagné l'gros lot !! 

Dieu merci...  J'ai pu te gâter cette dernière année.
Putains de clopes et putain de cancer!! T'as bouffé les poumons...
Et de battre ton coeur s'est arrêté. 

REMEMBER

    C'est terrible....  Vider  SA maison...  Et puis fermer la porte ... 
    Vous vous cramponnez encore quelques instants à la poignée, ce n'est qu'une poignée, qu'une porte... mais si lourde.
Et puis cela vous saute à la gueule ...Vous n'aurez plus le droit d'ouvrir cette porte..Cette porte qu'elle ouvrait  heureuse de nos retrouvailles, nos bavardages, nos souvenirs.
Toute notre famille avait habité ce grand immeuble, et  tata  JO  en fut la dernière locataire.


... Plus tard, qu'en le coeur fera moins mal, vous repasserez devant son immeuble, dans cette ville devenue  étrangère parce que vous n'aurez plus personne à y retrouver. Dans sa rue l'envie vous prendra..  De lever la tête,  habité d'un fol espoir. Mais ce ne sont plus ses rideaux.  La fenêtre  est  bien là, comme amputée de son bras, de sa main qu'elle agitait vers vous, lorsque vous la quittiez. Elle vous faisait des signes  joyeux, jusqu'au bout de la rue ...                 -  Jusqu'au bout du regard.

- " Un jour peut- être, comme moi, vous oserez revenir  dans son quartier. L'envie vous prendra de faire  "comme si"  vous  lui  rendiez  visite, alors vous franchirez la porte du viel immeuble  aux briquettes rouges. Le coeur battant vous monterez l'escalier dédaignant l'ascenseur... Vous retrouverez cette odeur très spéciale, innoubliable. Mélanges de cire, de pot au feu, et  d' accres parfums que vous respirerez presque avec délice,

 

    " ELLE" ... Vous l'imaginerez  encore là,   presque "accessible",
4ièm étage et voilà  la porte ... Une envie folle, le geste à jamais défendu. Vous hésiterez... Tout votre corps  tendu dans votre quête...
Mais  déjà  vaincue par l'atroce vérité... Le coeur  lourd, au bord des larmes... Vous repartirez  sans jamais avoir osé frapper.


    Marches après marches, impuissante, vous redescendrez  cet escalier. C'est alors que  vous  LA quitterez une dernière fois sans même l'avoir retrouvée.
 

- Malgré mon âge,  je n'ai pas d'autres mots pour te dire:   Combien tu me manques ma  " TATA JO "

 Extrait de : mes nuits sans sommeil.  Monique​

Comme un clin d'oeil du ciel... 

              sur  la 2ièm image au 4ièm étage  "Google"   nous indique sa fenêtre.

TU ME MANQUES...
TU ME MANQUES...
Partager cet article
Repost0
claire-le-pan-de-mur.over-blog.com Claire - dans ECLATS DE VIE

  • Claire

MA DROLE DE VIE

Résultat de recherche d'images pour "livre gif animé gratuit"  A L'automne de sa vie Claire se pose, raconte ses souvenirs

TU NAIS SEUL, TU MEURT  SEUL,  ENTRE LES DEUX IL Y A DES FAITS DIVERS. CHOISISSEZ BIEN VOS FAITS DIVERS  L Ferré

    MON ENFANCE 

 1955 - 1960 MARIAGE

LE CHEMIN  DE LA LIBERTE

1960 - PORTE DE PANTIN

BILLANCOURT - RUE BROCA

1969 LA SCHLAGUE

1970 - 1980  NICE

1970  - LE SELECT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         

MONTMARTRE

  UN AMOUREUX DE MONTMARTRE

    MONTMARTRE SECRET

POESIES - TEXTES

POESIES

J'AI FUIS     J'AI VU       RÊVERIE

 A MON ETOILE      ODE A MON CHAT

 RACINES    REQUIEM     PEUT - ETRE

RENCONTRE

TEXTES

2012  ECRIRE   

 MA TANTE JO   TU ME MANQUES

IMPOSSIBLE AMOUR

LE RÊVE FOU

LE SATELLITE PERDU

 

                                                                                                                              

 

ENFANTS DE LA GUERRE

      GERALD